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  • Caractéristiques techniques et applications techniques des chambres d'essai à changement rapide de température
    May 21, 2025
    Cet article analyse l'architecture du système et les caractéristiques techniques des chambres d'essai à changement rapide de température. En étudiant systématiquement les paramètres techniques et la conception fonctionnelle des composants clés, il fournit des conseils théoriques pour la sélection des équipements et l'optimisation des processus. 1. Principes techniques et architecture du systèmeChambres d'essai à changement rapide de température Fonctionnent selon les principes du transfert thermodynamique, permettant des variations de température non linéaires grâce à des systèmes de contrôle de température de haute précision. Les équipements standard peuvent atteindre des taux de variation de température ≥ 15 °C/min dans une plage de -70 °C à +150 °C. Le système comprend quatre modules principaux :(1) Système d'échange de chaleur : Structure de réfrigération en cascade à plusieurs étages(2) Système de circulation d'air : Guidage du flux d'air vertical/horizontal réglable(3) Système de contrôle intelligent : algorithme PID multivariable(4) Système de protection de sécurité : Mécanisme de protection à triple verrouillage 2. Analyse des principales caractéristiques techniques2.1 Optimisation de la conception structurelleLa chambre adopte une conception modulaire avec technologie de soudage en acier inoxydable SUS304. Une fenêtre d'observation en verre Low-E double couche assure une résistance thermique supérieure à 98 %. La conception du canal de drainage optimisée par CFD réduit la condensation de la vapeur.
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  • Préparation correcte des solutions salines pour les tests au brouillard salin
    May 15, 2025
    L'essai au brouillard salin est une méthode critique d'évaluation de la corrosion, largement utilisée dans des secteurs tels que l'automobile, l'aérospatiale et l'électronique. Pour garantir des résultats précis et reproductibles, il est essentiel de préparer correctement la solution saline et d'utiliser une enceinte d'essai au brouillard salin de haute qualité, garantissant des conditions d'essai précises. Voici les procédures de préparation pour les essais au brouillard salin courants, notamment le brouillard salin neutre (NSS), le brouillard salin d'acide acétique (AASS) et le brouillard salin d'acide acétique accéléré au cuivre (CASS) : 1. Préparation de la solution de brouillard salin neutre (NSS)Préparez une solution de chlorure de sodium : Dissoudre 50 g de chlorure de sodium (NaCl) dans 1 L d'eau distillée ou déionisée pour obtenir une concentration de 50 g/L ± 5 g/L. Remuer jusqu'à dissolution complète.Ajuster le pH (si nécessaire) : Mesurez le pH de la solution à l'aide d'un pH-mètre. Le pH doit être compris entre 6,4–7,0. Si un ajustement est nécessaire :Utiliser hydroxyde de sodium (NaOH) pour augmenter le pH.Utiliser acide acétique glacial (CH₃COOH) pour diminuer le pH.Remarque : même de petites quantités de NaOH ou d’acide acétique peuvent modifier considérablement le pH, alors ajoutez-les avec prudence.Pour des performances optimales, assurez-vous que la solution est utilisée dans une chambre d’essai au brouillard salin professionnelle qui fournit une température, une humidité et une distribution de pulvérisation constantes. 2. Préparation de la solution de brouillard salin d'acide acétique (AASS)Préparez une solution de base de chlorure de sodium : identique à celle du NSS (50 g de NaCl pour 1 L d'eau distillée/désionisée).Ajuster le pH : ajouter de l’acide acétique glacial à la solution de NaCl tout en remuant. Mesurer le pH jusqu’à ce qu’il atteigne 3,0–3,1.A chambre d'essai fiable de corrosion au brouillard salin Une surveillance précise du pH et un contrôle de la pulvérisation sont essentiels pour les tests AASS, car de légers écarts peuvent affecter la validité du test. 3. Préparation d'une solution de pulvérisation saline d'acide acétique accélérée au cuivre (CASS)Préparez une solution de chlorure de sodium : Identique au NSS (50 g de NaCl pour 1 L d'eau distillée/désionisée).Ajouter du chlorure de cuivre(II) (CuCl₂) : Dissoudre 0,26 g/L ± 0,02 g/L de CuCl₂·2H₂O (ou 0,205 g/L ± 0,015 g/L CuCl₂ anhydre) dans la solution de NaCl.Ajuster le pH : Ajoutez de l’acide acétique glacial en remuant jusqu’à ce que le pH atteigne 3,0–3,1.Les tests CASS nécessitent un chambre d'essai avancée au brouillard salin capable de maintenir des conditions strictes de température et d'accélération de la corrosion pour garantir des résultats rapides et précis. 4. Considérations clés pour les tests au brouillard salinExigences de pureté :Utiliser NaCl de haute pureté (≥ 99,5 %) avec ≤ 0,1 % d'iodure de sodium et ≤ 0,5 % d'impuretés totales.Évitez le NaCl avec des agents antiagglomérants, car ils peuvent agir comme inhibiteurs de corrosion et affecter les résultats des tests. 2. Filtration : Filtrez la solution avant utilisation pour éviter le colmatage des buses dans le chambre d'essai au brouillard salin. 3. Vérifications préalables au test :Vérifiez la concentration en sel et le niveau de solution avant chaque test.Assurer la chambre d'essai de corrosion au brouillard salin est correctement calibré pour la température, l'humidité et l'uniformité de la pulvérisation. Pourquoi choisir une chambre d’essai au brouillard salin professionnelle ?Une haute performance chambre d'essai au brouillard salin assure :✔ Contrôle environnemental précis – Maintient une température, une humidité et des conditions de pulvérisation stables.✔ Résistance à la corrosion – Fabriqué à partir de matériaux PP ou PVC de haute qualité pour résister aux tests à long terme.✔ Conformité aux normes – Conforme aux normes ASTM B117, ISO 9227 et autres exigences de l’industrie.✔ Fonctionnement convivial – Contrôles automatisés pour des résultats de test cohérents et reproductibles. Pour les industries nécessitant tests de corrosion fiables, investir dans un chambre d'essai au brouillard salin de haute qualité est essentiel pour obtenir des résultats précis et reproductibles.
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  • Une brève discussion sur l'utilisation et l'entretien d'une chambre d'essais environnementaux
    May 10, 2025
    Ⅰ. Utilisation appropriée de COMPAGNON DE LABORATOIRESInstrument deLes équipements d'essais environnementaux demeurent des instruments de précision et de grande valeur. Un fonctionnement et une utilisation corrects fournissent non seulement des données précises au personnel d'essai, mais garantissent également un fonctionnement normal à long terme et prolongent la durée de vie de l'équipement. Avant de réaliser des essais environnementaux, il est essentiel de se familiariser avec les performances des échantillons, les conditions, les procédures et les techniques d'essai. Une compréhension approfondie des spécifications techniques et de la structure de l'équipement d'essai, en particulier du fonctionnement et des fonctionnalités du contrôleur, est cruciale. Une lecture attentive du manuel d'utilisation de l'équipement permet d'éviter les dysfonctionnements causés par des erreurs de manipulation, susceptibles d'endommager les échantillons ou d'induire des données d'essai inexactes. Deuxièmement, sélectionnez l'équipement d'essai approprié. Pour garantir une exécution fluide, il convient de choisir l'équipement adapté aux caractéristiques des échantillons à tester. Un rapport raisonnable doit être maintenu entre le volume de l'échantillon et la capacité effective de la chambre d'essai. Pour les échantillons dissipant la chaleur, le volume ne doit pas dépasser un dixième de la capacité effective de la chambre. Pour les échantillons non chauffants, le volume ne doit pas dépasser un cinquième. Par exemple, un téléviseur couleur de 21 pouces soumis à des tests de stockage thermique peut parfaitement tenir dans une chambre de 1 m³, mais une chambre plus grande est nécessaire lorsque le téléviseur est sous tension en raison de la production de chaleur. Troisièmement, positionnez correctement les échantillons d'essai. Ils doivent être placés à au moins 10 cm des parois de la chambre. Plusieurs échantillons doivent être disposés sur le même plan autant que possible. Leur positionnement ne doit pas obstruer la sortie ou l'entrée d'air, et un espace suffisant doit être laissé autour des capteurs de température et d'humidité pour garantir des mesures précises. Quatrièmement, pour les tests nécessitant des milieux supplémentaires, le type approprié doit être ajouté conformément aux spécifications. Par exemple, l'eau utilisée dans chambres d'essai d'humidité Les tests d'humidité doivent répondre à des exigences spécifiques : la résistivité ne doit pas être inférieure à 500 Ω·m. L'eau du robinet a généralement une résistivité de 10 à 100 Ω·m, l'eau distillée de 100 à 10 000 Ω·m et l'eau déionisée de 10 000 à 100 000 Ω·m. Par conséquent, pour les tests d'humidité, il est impératif d'utiliser de l'eau distillée ou déionisée, et celle-ci doit être fraîche, car l'eau exposée à l'air absorbe le dioxyde de carbone et la poussière, ce qui réduit sa résistivité au fil du temps. L'eau purifiée disponible sur le marché constitue une alternative économique et pratique. Cinquièmement, l'utilisation correcte des enceintes d'essai d'humidité. La gaze ou le papier humide utilisé dans les enceintes d'essai d'humidité doit répondre à des normes spécifiques ; n'importe quelle gaze ne peut pas la remplacer. Les mesures d'humidité relative étant dérivées de la différence de température entre les thermomètres sec et humide (à proprement parler, également influencée par la pression atmosphérique et le flux d'air), la température humide dépend des taux d'absorption et d'évaporation d'eau, qui sont directement affectés par la qualité de la gaze. Les normes météorologiques exigent que la gaze humide soit une gaze spéciale en lin. Une gaze inadaptée peut entraîner un contrôle imprécis de l'humidité. De plus, la gaze doit être correctement installée : une longueur de 100 mm, enroulée étroitement autour de la sonde du capteur, la sonde étant positionnée à 25-30 mm au-dessus du réservoir d'eau, et la gaze immergée dans l'eau pour assurer un contrôle précis de l'humidité. Ⅱ. Maintenance des équipements d'essais environnementauxIl existe différents types d'équipements d'essais environnementaux, mais les plus couramment utilisés sont les enceintes à haute température, à basse température et à humidité. Récemment, les enceintes d'essai combinées température-humidité intégrant ces fonctions ont gagné en popularité. Plus complexes à réparer, elles constituent des exemples représentatifs. Nous abordons ci-dessous la structure, les dysfonctionnements courants et les méthodes de dépannage des enceintes d'essai température-humidité. (1) Structure des chambres d'essai de température et d'humidité courantesOutre le bon fonctionnement de l'équipement, le personnel d'essai doit comprendre sa structure. Une enceinte d'essai de température et d'humidité se compose d'un corps, d'un système de circulation d'air, d'un système de réfrigération, d'un système de chauffage et d'un système de contrôle de l'humidité. Le système de circulation d'air permet généralement de régler la direction du flux d'air. Le système d'humidification peut utiliser une chaudière ou une évaporation de surface. Le système de refroidissement et de déshumidification utilise un cycle de réfrigération par climatisation. Le système de chauffage peut utiliser des radiateurs électriques à ailettes ou un chauffage direct par fil résistif. Les méthodes de mesure de la température et de l'humidité comprennent les tests au thermomètre sec-humide ou les capteurs d'humidité directs. Les interfaces de contrôle et d'affichage peuvent être équipées de contrôleurs de température et d'humidité séparés ou combinés. (2) Dysfonctionnements courants et méthodes de dépannage pour Chambres d'essai de température et d'humidité1. Problèmes liés aux tests à haute température Si la température n'atteint pas la valeur définie, inspectez le système électrique pour identifier les défauts.Si la température augmente trop lentement, vérifiez le système de circulation d'air, en vous assurant que le registre est correctement réglé et que le moteur du ventilateur fonctionne.Si un dépassement de température se produit, recalibrez les paramètres PID.Si la température augmente de manière incontrôlable, le contrôleur peut être défectueux et nécessiter un remplacement. 2. Problèmes liés aux tests à basse température Si la température baisse trop lentement ou rebondit après avoir atteint un certain point : Assurez-vous que la chambre est pré-séchée avant le test. Vérifiez que les échantillons ne sont pas surchargés, ce qui obstrue la circulation de l’air. Si ces facteurs sont exclus, le système de réfrigération peut nécessiter un entretien professionnel.Le rebond de température est souvent dû à de mauvaises conditions ambiantes (par exemple, un espace libre insuffisant derrière la chambre ou une température ambiante élevée). 3. Problèmes de test d'humidité Si l’humidité atteint 100 % ou s’écarte considérablement de la cible : Pour une humidité de 100 % : Vérifiez que la gaze humide est sèche. Inspectez le niveau d'eau dans le réservoir du capteur humide et dans le système d'alimentation en eau automatique. Remplacez ou nettoyez la gaze durcie si nécessaire. En cas de faible humidité : vérifiez l'alimentation en eau et le niveau de la chaudière du système d'humidification. Si ces éléments sont normaux, le système de commande électrique peut nécessiter une réparation professionnelle. 4. Défauts d'urgence pendant le fonctionnement En cas de dysfonctionnement de l'équipement, le panneau de commande affiche un code d'erreur accompagné d'une alarme sonore. Les opérateurs peuvent consulter la section dépannage du manuel pour identifier le problème et faire appel à un professionnel pour une reprise rapide des tests. D'autres équipements d'essais environnementaux peuvent présenter des problèmes différents, qui doivent être analysés et résolus au cas par cas. Un entretien régulier est essentiel, notamment le nettoyage du condenseur, la lubrification des pièces mobiles et l'inspection des commandes électriques. Ces mesures sont indispensables pour garantir la longévité et la fiabilité des équipements.
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  • Testeur de vieillissement accéléré QUV UV et ses applications dans l'industrie textile
    Apr 28, 2025
    Le Testeur de vieillissement accéléré QUV UV est largement utilisé dans le domaine textile, principalement pour évaluer la résistance aux intempéries des matériaux textiles dans des conditions spécifiques. I. Principe de fonctionnementLe testeur de vieillissement accéléré UV QUV évalue la résistance aux intempéries des matériaux textiles en simulant le rayonnement ultraviolet (UV) du soleil et d'autres conditions environnementales. L'appareil utilise des lampes UV fluorescentes spécialisées pour reproduire le spectre UV du soleil, générant ainsi un rayonnement UV de haute intensité qui accélère le vieillissement du matériau. De plus, le testeur contrôle des paramètres environnementaux tels que la température et l'humidité afin de simuler de manière exhaustive les conditions réelles affectant le matériau. II. Normes applicablesDans l'industrie textile, le testeur QUV est conforme à des normes telles que la norme GB/T 30669. Ces normes sont généralement utilisées pour évaluer la résistance aux intempéries des matériaux textiles dans des conditions spécifiques, notamment la solidité des couleurs, la résistance à la traction, l'allongement à la rupture et d'autres indicateurs de performance clés. En simulant l'exposition aux UV et d'autres facteurs environnementaux rencontrés dans des applications réelles, le testeur QUV fournit des données fiables pour soutenir le développement produit et le contrôle qualité. III. Processus de testLors des tests, des échantillons textiles sont placés dans le testeur QUV et exposés à un rayonnement UV de forte intensité. Selon les exigences de la norme, des conditions environnementales supplémentaires, telles que la température et l'humidité, peuvent être contrôlées. Après une période d'exposition déterminée, les échantillons subissent une série de tests de performance pour évaluer leur résistance aux intempéries. IV. Principales caractéristiquesSimulation réaliste : le testeur QUV reproduit avec précision le rayonnement UV à ondes courtes, reproduisant efficacement les dommages physiques causés par la lumière du soleil, notamment la décoloration, la perte de brillance, le farinage, les fissures, les cloques, la fragilisation, la réduction de la résistance et l'oxydation. Contrôle précis : l'appareil assure une régulation précise de la température, de l'humidité et d'autres facteurs environnementaux, améliorant ainsi la précision et la fiabilité des tests. Fonctionnement convivial : Conçu pour une installation et une maintenance faciles, le testeur QUV dispose d'une interface intuitive avec prise en charge de la programmation multilingue. Rentable : L’utilisation de lampes UV fluorescentes à longue durée de vie et à faible coût et d’eau du robinet pour la condensation réduit considérablement les dépenses opérationnelles. V. Avantages de l'applicationÉvaluation rapide : le testeur QUV peut simuler des mois, voire des années, d'exposition à l'extérieur en peu de temps, permettant une évaluation rapide de la durabilité du textile. Qualité de produit améliorée : en reproduisant les conditions UV et environnementales réelles, le testeur fournit des données fiables pour optimiser la conception du produit, améliorer la qualité et prolonger la durée de vie. Large applicabilité : Outre les textiles, le testeur QUV est largement utilisé dans les revêtements, les encres, les plastiques, l'électronique et d'autres industries. VI. Notre expertiseEn tant que l'un des premiers fabricants chinois de Chambres d'essai de vieillissement UV, notre société possède une vaste expérience et une ligne de production mature, offrant des prix très compétitifs sur le marché. ConclusionLe testeur de vieillissement accéléré UV QUV présente une valeur significative et de vastes perspectives d'application dans l'industrie textile. En simulant l'exposition aux UV et les facteurs environnementaux réels, il fournit aux fabricants des données fiables pour affiner la conception des produits, améliorer leur qualité et prolonger leur durée de vie.
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  • Guide de l'utilisateur pour les équipements de test environnemental
    Apr 26, 2025
    1. Concepts de baseLes équipements de test environnementaux (souvent appelés « chambres d'essai climatiques ») simulent diverses conditions de température et d'humidité à des fins de test. Avec la croissance rapide de secteurs émergents tels que l'intelligence artificielle, les nouvelles énergies et les semi-conducteurs, des tests environnementaux rigoureux sont devenus essentiels au développement et à la validation des produits. Cependant, les utilisateurs rencontrent souvent des difficultés lors du choix des équipements, faute de connaissances spécialisées. Ce qui suit présentera les paramètres de base de la chambre d’essai environnemental, afin de vous aider à faire un meilleur choix de produits. 2. Spécifications techniques clés(1) Paramètres liés à la température1. Plage de température Définition: La plage de températures extrêmes dans laquelle l'équipement peut fonctionner de manière stable sur de longues périodes. Plage de températures élevées : Chambres haute température standard : 200℃, 300℃, 400℃, etc. Chambres à haute et basse température : les modèles de haute qualité peuvent atteindre 150 à 180 ℃.Recommandation pratique : 130℃ suffisent pour la plupart des applications. Plage de basses températures :Réfrigération à un étage : environ -40℃.Réfrigération en cascade : Environ -70℃.Options économiques : -20℃ ou 0℃. 2. Fluctuation de température Définition: La variation de température en tout point de la zone de travail après stabilisation. Exigence standard : ≤1℃ ou ±0,5℃. Note: Une fluctuation excessive peut avoir un impact négatif sur d’autres mesures de performance de température. 3. Uniformité de la température Définition: La différence de température maximale entre deux points quelconques de la zone de travail. Exigence standard : ≤2℃. Note: Maintenir cette précision devient difficile à des températures élevées (> 200℃). 4. Écart de température Définition: La différence de température moyenne entre le centre de la zone de travail et les autres points. Exigence standard : ±2℃ (ou ±2% à haute température). 5. Taux de changement de température Conseils d'achat :Définissez clairement les exigences réelles en matière de tests.Fournir des informations détaillées sur l'échantillon (dimensions, poids, matériau, etc.).Demandez des données de performance dans des conditions de charge. (Combien de produits allez-vous tester une fois ?)Évitez de vous fier uniquement aux spécifications du catalogue. (2) Paramètres liés à l'humidité1. Plage d'humidité Caractéristiques principales : Un double paramètre dépendant de la température. Recommandation: Il faut se concentrer sur la question de savoir si le niveau d’humidité requis peut être maintenu de manière stable. 2. Écart d'humidité Définition: L'uniformité de la répartition de l'humidité dans la zone de travail. Exigence standard : ±3%HR (±5%HR dans les zones à faible humidité). (3) Autres paramètres1. Vitesse du flux d'air Généralement, ce n’est pas un facteur critique, sauf si cela est spécifié par les normes de test. 2. Niveau de bruit Valeurs standard :Chambres d'humidité : ≤75 dB.Chambres de température : ≤80 dB. Recommandations pour l'environnement de bureau :Petit équipement : ≤70 dB.Gros équipements : ≤73 dB. 3. Recommandations d'achatSélectionnez les paramètres en fonction des besoins réels, évitez de trop spécifier.Privilégiez la stabilité à long terme des performances.Demandez des données de test chargées aux fournisseurs.Vérifier les véritables dimensions effectives de la zone de travail.Précisez à l’avance les conditions d’utilisation particulières (par exemple, environnements de bureau).
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  • Résumé des conditions de test des LED
    Apr 22, 2025
    Qu'est-ce qu'une LED ? Une diode électroluminescente (DEL) est un type particulier de diode qui émet une lumière monochromatique et discontinue lorsqu'une tension directe est appliquée – un phénomène appelé électroluminescence. En modifiant la composition chimique du matériau semi-conducteur, les LED peuvent produire une lumière proche de l'ultraviolet, visible ou infrarouge. Initialement, les LED étaient principalement utilisées comme voyants lumineux et panneaux d'affichage. Cependant, avec l'avènement des LED blanches, elles sont désormais également utilisées dans les applications d'éclairage. Reconnues comme la nouvelle source lumineuse du XXIe siècle, les LED offrent des avantages inégalés, tels qu'un rendement élevé, une longue durée de vie et une durabilité accrue par rapport aux sources lumineuses traditionnelles. Classification par luminosité : LED de luminosité standard (fabriquées à partir de matériaux tels que GaP, GaAsP) LED haute luminosité (fabriquées en AlGaAs) LED à ultra-haute luminosité (fabriquées à partir d'autres matériaux avancés) ☆ Diodes infrarouges (IRED) : émettent une lumière infrarouge invisible et servent à différentes applications.   Présentation des tests de fiabilité des LED : Les LED ont été développées dans les années 1960 et étaient initialement utilisées dans les feux de signalisation et les produits de consommation. Ce n'est que récemment qu'elles ont été adoptées pour l'éclairage et comme sources lumineuses alternatives. Remarques supplémentaires sur la durée de vie des LED : Plus la température de jonction de la LED est basse, plus sa durée de vie est longue, et vice versa. Durée de vie des LED sous hautes températures : 10 000 heures à 74 °C 25 000 heures à 63 °C En tant que produit industriel, les sources lumineuses LED doivent avoir une durée de vie de 35 000 heures (durée d'utilisation garantie). Les ampoules traditionnelles ont généralement une durée de vie d’environ 1 000 heures. Les lampadaires à LED devraient durer plus de 50 000 heures. Résumé des conditions de test des LED : Test de choc thermique Température de choc 1 Température ambiante Température de choc 2 Temps de récupération Cycles Méthode de choc Remarques -20℃(5 min) 2 90℃ (5 min)   2 Choc gazeux   -30℃(5 min) 5 105℃ (5 min)   10 Choc gazeux   -30℃(30 min)   105℃ (30 min)   10 Choc gazeux   88℃ (20 min)   -44℃(20 min)   10 Choc gazeux   100℃ (30 min)   -40℃(30 min)   30 Choc gazeux   100℃ (15 min)   -40℃(15 min) 5 300 Choc gazeux LED HB 100℃ (5 min)   -10℃(5 min)   300 Choc liquide LED HB   Test LED haute température et haute humidité (test THB) Température/Humidité Temps Remarques 40℃/95% HR 96 heures   60℃/85% HR 500 heures Test de durée de vie des LED 60℃/90% HR 1000 heures Test de durée de vie des LED 60℃/95% HR 500 heures Test de durée de vie des LED 85℃/85% HR 50 heures   85℃/85% HR 1000 heures Test de durée de vie des LED   Test de durée de vie à température ambiante 27℃ 1000 heures Éclairage continu à courant constant   Test de durée de vie à haute température (test HTOL) 85℃ 1000 Heure Éclairage continu à courant constant 100℃ 1000 Heure Éclairage continu à courant constant   Test de durée de vie à basse température (test LTOL) -40℃ 1000 Heure Éclairage continu à courant constant -45℃ 1000 Heure Éclairage continu à courant constant   Test de soudabilité Conditions de test Remarques Les broches de la LED (à 1,6 mm du bas du colloïde) sont immergées dans un bain d'étain à 260 °C pendant 5 secondes.   Les broches de la LED (à 1,6 mm du bas du colloïde) sont immergées dans un bain d'étain à 260+5 °C pendant 6 secondes.   Les broches de la LED (à 1,6 mm du bas du colloïde) sont immergées dans un bain d'étain à 300 °C pendant 3 secondes.     Test du four de soudage par refusion 240℃ 10 secondes   Test environnemental (Effectuer un traitement de soudure TTW pendant 10 secondes à une température de 240 °C ± 5 °C) Nom du test Norme de référence Se référer au contenu des conditions de test dans la norme JIS C 7021 Récupération Numéro de cycle (H) Cycle de température Spécifications automobiles -40 °C ←→ 100 °C, avec un temps de maintien de 15 minutes 5 minutes 5/50/100 Cycle de température   60 °C/95 % HR, avec courant appliqué   50/100 Polarisation inverse de l'humidité Méthode MIL-STD-883 60 °C/95 % HR, 5 V RB   50/100  
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  • IEC 68-2-18 Essai R et directives : Essais de l'eau
    Apr 19, 2025
    Avant-proposCette méthode d'essai vise à fournir des procédures permettant d'évaluer la capacité des produits électriques et électroniques à résister à une exposition aux chutes de gouttes (précipitations), aux impacts d'eau (jets d'eau) ou à l'immersion pendant le transport, le stockage et l'utilisation. Ces essais vérifient l'efficacité des couvercles et des joints pour garantir le bon fonctionnement des composants et équipements pendant ou après une exposition à des conditions d'eau normalisées. Portée Cette méthode d'essai comprend les procédures suivantes. Consultez le tableau 1 pour connaître les caractéristiques de chaque essai. Méthode d'essai Ra : Précipitations Méthode Ra 1 : Pluies artificielles Ce test simule l'exposition aux précipitations naturelles pour des produits électriques placés à l'extérieur sans protection.Méthode Ra 2 : Boîte d'égouttage Ce test s'applique aux produits électriques qui, bien qu'abrités, peuvent subir de la condensation ou des fuites entraînant des gouttes d'eau par le haut. Méthode d'essai Rb : Jets d'eauMéthode Rb 1 : Forte pluie Simule l'exposition à de fortes pluies ou à des averses torrentielles pour les produits placés à l'extérieur dans les régions tropicales sans protection.Méthode Rb 2 : Pulvérisation Applicable aux produits exposés à l'eau provenant des systèmes d'extinction automatique d'incendie ou aux éclaboussures des roues. Méthode Rb 2.1 : Tube oscillant Méthode Rb 2.2 : Buse de pulvérisation portativeMéthode Rb 3 : Jet d'eau Simule l'exposition à l'évacuation de l'eau des vannes ou aux éclaboussures des vagues. Méthode d'essai Rc : ImmersionÉvalue les effets d’une immersion partielle ou complète pendant le transport ou l’utilisation. Méthode Rc 1 : Réservoir d'eauMéthode Rc 2 : Chambre à eau sous pression LimitesLa méthode Ra 1 est basée sur les conditions de précipitations naturelles et ne tient pas compte des précipitations sous des vents forts.Ce test n’est pas un test de corrosion.Il ne simule pas les effets des changements de pression ou des chocs thermiques. Procédures de testPréparation généraleAvant les essais, les échantillons doivent être soumis à des inspections visuelles, électriques et mécaniques, conformément aux normes applicables. Les caractéristiques affectant les résultats des essais (par exemple, traitements de surface, couvercles, joints) doivent être vérifiées.Procédures spécifiques à la méthodeRa 1 (Pluie artificielle) :Les échantillons sont montés sur un cadre de support à un angle d'inclinaison défini (voir la figure 1).La gravité du test (angle d’inclinaison, durée, intensité des précipitations, taille des gouttelettes) est sélectionnée dans le tableau 2. Les échantillons peuvent être tournés (270° max.) pendant les essais. Des inspections post-essai permettent de vérifier l'absence d'infiltration d'eau.Ra 2 (boîte d'égouttage) :La hauteur de goutte (0,2 à 2 m), l’angle d’inclinaison et la durée sont définis conformément au tableau 3.Un égouttage uniforme (200–300 mm/h) avec une taille de gouttelettes de 3 à 5 mm est maintenu (Figure 4).Rb 1 (Fortes pluies) :Les conditions de précipitations de forte intensité sont appliquées conformément au tableau 4.Rb 2.1 (tube oscillant) :L'angle de la buse, le débit, l'oscillation (±180°) et la durée sont sélectionnés dans le tableau 5.Les échantillons tournent lentement pour assurer un mouillage complet de la surface (Figure 5).Rb 2.2 (pulvérisateur portatif) :Distance de pulvérisation : 0,4 ± 0,1 m ; débit : 10 ± 0,5 dm³/min (Figure 6).Rb 3 (jet d'eau) :Diamètres des buses : 6,3 mm ou 12,5 mm ; distance du jet : 2,5 ± 0,5 m (tableaux 7–8, figure 7).Rc 1 (Réservoir d'eau) :La profondeur et la durée d'immersion suivent le tableau 9. L'eau peut contenir des colorants (par exemple, la fluorescéine) pour détecter les fuites. Rc 2 (Chambre pressurisée):La pression et le temps sont réglés conformément au tableau 10. Un séchage après test est requis. Conditions de testQualité de l’eau : Eau filtrée et déionisée (pH 6,5–7,2 ; résistivité ≥ 500 Ω·m).Température : Température initiale de l'eau inférieure de 5 °C à la température de l'échantillon (max. 35 °C pour l'immersion). Configuration du test Ra 1/Ra 2 : Les réseaux de buses simulent les précipitations/gouttes d'eau (figures 2 à 4). Les appareils doivent permettre le drainage. Rb 2.1 : Rayon du tube oscillant ≤ 1 000 mm (1 600 mm pour les grands échantillons).Rb 3 : Pression du jet : 30 kPa (buse de 6,3 mm) ou 100 kPa (buse de 12,5 mm). DéfinitionsPrécipitations (gouttes tombantes) : Pluie simulée (gouttelettes > 0,5 mm) ou bruine (0,2–0,5 mm).Intensité des précipitations (R) : Volume de précipitations par heure (mm/h).Vitesse terminale (Vt) : 5,3 m/s pour les gouttes de pluie dans l'air calme.Calculs : Diamètre moyen des gouttelettes : D v≈1,71 R0,25 mm. Diamètre médian : D 50 = 1,21 R 0,19mm. Intensité des précipitations : R = (V × 6)/(A × t) mm/h (où V = volume de l'échantillon en cm³, A = surface du capteur en dm², t = temps en minutes). Remarque : Tous les tests nécessitent des inspections post-exposition pour vérifier la pénétration de l'eau et le fonctionnement. Les spécifications de l'équipement (par exemple, types de buses, débits) sont essentielles à la reproductibilité.
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  • Méthode d'essai Cx CEI 68-2-66 : Chaleur humide à l'état stationnaire (vapeur saturée non pressurisée)
    Apr 18, 2025
    Avant-propos Le but de cette méthode d'essai est de fournir une procédure normalisée pour évaluer la résistance des petits produits électrotechniques (principalement des composants non hermétiques) par une chambre d'essai environnementale à haute et basse température et humide. Portée Cette méthode d'essai s'applique aux essais accélérés de chaleur humide de petits produits électrotechniques. Limites Cette méthode ne convient pas pour vérifier les effets externes sur les échantillons, tels que la corrosion ou la déformation. Procédure de test1. Inspection pré-test Les échantillons doivent être soumis à des inspections visuelles, dimensionnelles et fonctionnelles comme spécifié dans les normes pertinentes. 2. Placement de l'échantillon Les échantillons doivent être placés dans la chambre d’essai dans des conditions de laboratoire de température, d’humidité relative et de pression atmosphérique. 3. Application de la tension de polarisation (le cas échéant) Si une tension de polarisation est requise par la norme concernée, elle ne doit être appliquée qu'une fois que l'échantillon a atteint l'équilibre thermique et hygrométrique. 4. Augmentation de la température et de l'humidité La température doit être portée à la valeur spécifiée. Durant cette période, l'air de la chambre doit être déplacé par la vapeur. La température et l’humidité relative ne doivent pas dépasser les limites spécifiées. Aucune condensation ne doit se former sur l’échantillon. La stabilisation de la température et de l'humidité doit être obtenue en 1,5 heure. Si la durée de l'essai dépasse 48 heures et que la stabilisation ne peut être réalisée en 1,5 heure, elle doit être obtenue en 3 heures. 5. Exécution des tests Maintenir la température, l’humidité et la pression à des niveaux spécifiés conformément à la norme en vigueur. La durée du test commence une fois que les conditions d'état stable sont atteintes. 6. Récupération post-test Après la durée d'essai spécifiée, les conditions de la chambre doivent être rétablies aux conditions atmosphériques standard (1 à 4 heures). La température et l'humidité ne doivent pas dépasser les limites spécifiées pendant la récupération (le refroidissement naturel est autorisé). Les échantillons doivent être laissés se stabiliser complètement avant toute manipulation ultérieure. 7. Mesures en cours de test (si nécessaire) Les inspections électriques ou mécaniques pendant l’essai doivent être effectuées sans modifier les conditions d’essai. Aucun échantillon ne doit être retiré de la chambre avant la récupération. 8. Inspection post-testAprès récupération (2 à 24 heures dans des conditions standard), les échantillons doivent subir des inspections visuelles, dimensionnelles et fonctionnelles conformément à la norme applicable. --- Conditions de testSauf indication contraire, les conditions d’essai consistent en des combinaisons de température et de durée telles qu’énumérées dans le tableau 1. --- Configuration du test1. Exigences de la chambre Un capteur de température doit surveiller la température de la chambre. L'air de la chambre doit être purgé avec de la vapeur d'eau avant le test. Le condensat ne doit pas couler sur les échantillons. 2. Matériaux de la chambreLes parois de la chambre ne doivent pas dégrader la qualité de la vapeur ni provoquer la corrosion de l’échantillon. 3. Uniformité de la températureTolérance totale (variation spatiale, fluctuation et erreur de mesure) : ±2°C. Pour maintenir la tolérance à l'humidité relative (± 5 %), les différences de température entre deux points quelconques de la chambre doivent être minimisées (≤ 1,5 °C), même pendant la montée/descente. 4. Placement de l'échantillonLes échantillons ne doivent pas obstruer le flux de vapeur. L’exposition directe à la chaleur radiante est interdite. Si des luminaires sont utilisés, leur conductivité thermique et leur capacité thermique doivent être minimisées pour éviter d'affecter les conditions d'essai. Les matériaux des luminaires ne doivent pas provoquer de contamination ou de corrosion. 3. Qualité de l'eau Utilisez de l'eau distillée ou déionisée avec : Résistivité ≥ 0,5 MΩ·cm à 23 °C. pH 6,0–7,2 à 23 °C. Les humidificateurs à chambre doivent être nettoyés par frottement avant l'introduction de l'eau. --- Informations ComplémentairesLe tableau 2 fournit les températures de vapeur saturée correspondant aux températures sèches (100–123 °C). Les schémas des équipements d’essai à conteneur unique et à double conteneur sont présentés dans les figures 1 et 2. --- Tableau 1 : Gravité du test| Temp. (°C) | HR (%) | Durée (h, -0/+2) | températurehumidité relativeHeure (heures, -0/+2)±2℃±5%ⅠⅡⅢ110859619240812085489619213085244896Remarque : La pression de vapeur à 110 °C, 120 °C et 130 °C doit être respectivement de 0,12 MPa, 0,17 MPa et 0,22 MPa. --- Tableau 2 : Température de la vapeur saturée par rapport à l'humidité relative (Plage de température sèche : 100–123°C)Température de saturation (℃)RelatifHumidité (% HR)100%95%90%85%80%75%70%65%60%55%50%Température sèche (℃) 100 100,098,697,195,593,992,190,388,486,384,181,7101 101.099,698,196,594,893,191,289,387,285,082,6102 102,0100,699,097,595,894,092,290,288,185,983,5103 103,0101,5100,098,496,895,093,192,189,086,884,3104 104,0102,5101.099,497,795,994,192,190,087,785,2105 105,0103,5102,0100,498,796,995,093,090,988,686,1106 106,0104,5103,0101,399,697,896,093,991,889,587,0107 107,0105,5103,9102,3100,698,896,994,992,790,487,9108 108,0106,5104,9103,3101,699,897,895,893,691,388,8109 109,0107,5105,9104,3102,5100,798,896,794,592,289,7110 110,0108,5106,9105,2103,5101,799,797,795,593,190,6(Des colonnes supplémentaires pour le % HR et la température de saturation suivraient comme dans le tableau d'origine.) --- Termes clés clarifiés :« Vapeur saturée non pressurisée » : environnement à forte humidité sans application de pression externe. « État stationnaire » : conditions constantes maintenues tout au long du test.
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  • Guide de sélection des chambres à température et humidité constantes
    Apr 06, 2025
    Cher client, Pour vous assurer de sélectionner l'équipement le plus rentable et le plus pratique pour vos besoins, veuillez confirmer les détails suivants avec notre équipe de vente avant d'acheter nos produits : Ⅰ. Taille de l'espace de travailL'environnement d'essai optimal est atteint lorsque le volume de l'échantillon ne dépasse pas 1/5 de la capacité totale de la chambre. Cela garantit des résultats d'essai précis et fiables. Ⅱ. Plage de température et exigencesSpécifiez la plage de température requise.Indiquez si des changements de température programmables ou des cycles de température rapides sont nécessaires. Si oui, indiquez la vitesse de variation de température souhaitée (par exemple, °C/min). Ⅲ. Plage d'humidité et exigencesDéfinissez la plage d’humidité requise.Indiquez si des conditions de basse température et de faible humidité sont nécessaires.Si une programmation de l'humidité est requise, fournissez un graphique de corrélation température-humidité pour référence. Ⅳ. Conditions de chargeY aura-t-il une charge à l'intérieur de la chambre ?Si la charge génère de la chaleur, indiquez la puissance calorifique approximative (en watts). Ⅴ. Sélection de la méthode de refroidissementRefroidissement par air – Convient aux petits systèmes de réfrigération et aux conditions générales de laboratoire.Refroidissement par eau – Recommandé pour les systèmes de réfrigération plus grands où l’alimentation en eau est disponible, offrant une efficacité supérieure. Le choix doit être basé sur les conditions du laboratoire et l’infrastructure locale. Ⅵ. Dimensions et emplacement de la chambreTenez compte de l’espace physique où la chambre sera installée.Assurez-vous que les dimensions permettent un accès facile à l'espace, au transport et à l'entretien. Ⅶ. Capacité de charge de l'étagère d'essaiSi les échantillons sont lourds, spécifiez le poids maximal requis pour l'étagère de test. Ⅷ. Alimentation électrique et installationConfirmer l'alimentation électrique disponible (tension, phase, fréquence).Assurez une capacité électrique suffisante pour éviter les problèmes opérationnels. Ⅹ. Fonctionnalités et accessoires en option Nos modèles standards répondent aux exigences générales de test, mais nous proposons également :1. Luminaires personnalisés2. Capteurs supplémentaires3. Systèmes d'enregistrement de données4. Capacités de surveillance à distance5. Spécifiez les accessoires spéciaux ou les pièces de rechange nécessaires. Ⅺ. Conformité aux normes de testLes normes industrielles étant variables, veuillez préciser clairement les normes et clauses de test applicables lors de votre commande. Fournissez des points de température et d'humidité détaillés ou des indicateurs de performance spécifiques si nécessaire. Ⅺ. Autres exigences douanièresSi vous avez des besoins de test uniques, discutez-en avec nos ingénieurs pour des solutions sur mesure. Ⅻ. Recommandation : modèles standard ou personnalisésLes modèles standards offrent une livraison plus rapide et une rentabilité optimale.Cependant, nous sommes également spécialisés dans chambres sur mesure et des solutions OEM pour des applications spécialisées. Pour obtenir une assistance supplémentaire, contactez notre équipe commerciale pour garantir la meilleure configuration pour vos besoins de test. GUANGDONG LABCOMPANION LTD Ingénierie de précision pour des tests fiables
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  • Précautions d'utilisation d'un four en studio
    Mar 22, 2025
    Un four est un appareil utilisant des éléments chauffants électriques pour sécher des objets dans un environnement contrôlé. Il convient à la cuisson, au séchage et au traitement thermique à une température comprise entre 5 °C et 300 °C (voire jusqu'à 200 °C sur certains modèles) au-dessus de la température ambiante, avec une sensibilité typique de ± 1 °C. Il existe de nombreux modèles de fours, mais leur structure de base est similaire et se compose généralement de trois parties : la chambre, le système de chauffage et le système de contrôle automatique de la température.Voici les points clés et les précautions à prendre pour utiliser un four : Ⅰ. Installation : Le four doit être placé dans un endroit sec et plat à l'intérieur, à l'abri des vibrations et des substances corrosives. Ⅱ. Sécurité électrique : Assurez une utilisation sûre de l'électricité en installant un interrupteur d'alimentation d'une puissance suffisante en fonction de la consommation électrique du four. Utilisez des câbles d'alimentation adaptés et assurez-vous d'une mise à la terre adéquate. Ⅲ. Contrôle de la température : Pour les fours équipés d'un régulateur de température à thermomètre à mercure, connectez les deux fils du thermomètre à mercure aux deux bornes situées sur le dessus du four. Insérez un thermomètre à mercure standard dans la soupape d'aération (ce thermomètre sert à étalonner le thermomètre à mercure et à surveiller la température réelle à l'intérieur de la chambre). Ouvrez l'orifice d'aération et réglez le thermomètre à la température souhaitée, puis serrez la vis du bouchon pour maintenir une température constante. Veillez à ne pas tourner l'indicateur au-delà de l'échelle pendant le réglage. Ⅳ. Préparation et fonctionnement : Une fois toutes les préparations terminées, placez les échantillons dans l’étuve, branchez l’alimentation électrique et allumez-la. Le voyant rouge s’allume, indiquant que l’enceinte chauffe. Lorsque la température atteint la valeur de consigne, le voyant rouge s’éteint et le voyant vert s’allume, indiquant que l’étuve est entrée en phase de température constante. Il est toutefois nécessaire de surveiller l’étuve pour éviter toute défaillance du système de contrôle de la température. Ⅴ. Placement des échantillons : Lors du placement des échantillons, veillez à ce qu'ils ne soient pas trop serrés. Ne placez pas les échantillons sur la plaque de dissipation thermique, car cela pourrait gêner le flux d'air chaud ascendant. Évitez de cuire des substances inflammables, explosives, volatiles ou corrosives. Ⅵ. Observation : Pour observer les échantillons à l'intérieur de la chambre, ouvrez la porte extérieure et regardez à travers la vitre. Cependant, réduisez la fréquence d'ouverture de la porte afin de ne pas affecter la température constante. En particulier, lorsque la température est supérieure à 200 °C, l'ouverture de la porte peut provoquer la fissuration du verre par refroidissement brutal. Ⅶ. Ventilation : Pour les fours équipés d'un ventilateur, assurez-vous que celui-ci est en marche pendant les phases de chauffage et de maintien à température constante. Le non-respect de cette consigne peut entraîner une répartition inégale de la température dans la chambre et endommager les éléments chauffants. Ⅷ. Arrêt : Après utilisation, coupez rapidement l'alimentation électrique pour garantir la sécurité. Ⅸ. Propreté : Gardez l’intérieur et l’extérieur du four propres. Ⅹ. Limite de température : Ne pas dépasser la température maximale de fonctionnement du four. XI. Mesures de sécurité : Utiliser des outils spécialisés pour manipuler les échantillons afin d’éviter les brûlures. Notes supplémentaires : 1. Entretien régulier : inspectez périodiquement les éléments chauffants, les capteurs de température et les systèmes de contrôle du four pour vous assurer qu'ils fonctionnent correctement. 2. Étalonnage : étalonnez régulièrement le système de contrôle de la température pour maintenir la précision. 3. Ventilation : Assurez-vous que le studio dispose d’une ventilation adéquate pour éviter l’accumulation de chaleur et de fumées. 4. Procédures d’urgence : Familiarisez-vous avec les procédures d’arrêt d’urgence et gardez un extincteur à proximité en cas d’accident. En adhérant à ces directives, vous pouvez garantir l’utilisation sûre et efficace d’un four dans votre studio.
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  • Technologie de tests environnementaux accélérés
    Mar 21, 2025
    Les tests environnementaux traditionnels reposent sur la simulation de conditions environnementales réelles, appelées tests de simulation environnementale. Cette méthode se caractérise par la simulation d'environnements réels et l'intégration de marges de conception pour garantir la réussite du test. Cependant, ses inconvénients incluent une faible efficacité et une consommation importante de ressources. Les tests environnementaux accélérés (TEA) constituent une technologie émergente de test de fiabilité. Cette approche rompt avec les méthodes traditionnelles de test de fiabilité en introduisant un mécanisme de stimulation qui réduit considérablement la durée des tests, améliore leur efficacité et diminue leurs coûts. La recherche et l'application des TEA revêtent une importance pratique considérable pour le progrès de l'ingénierie de la fiabilité. Essais environnementaux accélérésLes tests de stimulation consistent à appliquer des contraintes et à détecter rapidement les conditions environnementales afin d'éliminer les défauts potentiels des produits. Les contraintes appliquées lors de ces tests ne simulent pas des environnements réels, mais visent à maximiser l'efficacité de la stimulation. Les essais environnementaux accélérés sont une forme d'essai de stimulation qui utilise des conditions de contrainte accrues pour évaluer la fiabilité d'un produit. Le niveau d'accélération lors de ces essais est généralement représenté par un facteur d'accélération, défini comme le rapport entre la durée de vie d'un appareil en conditions de fonctionnement naturelles et sa durée de vie en conditions accélérées. Les contraintes appliquées peuvent inclure la température, les vibrations, la pression, l'humidité (appelées les « quatre contraintes globales ») et d'autres facteurs. La combinaison de ces contraintes est souvent plus efficace dans certains scénarios. Les cycles de température à haute fréquence et les vibrations aléatoires à large bande sont reconnus comme les formes de contrainte de stimulation les plus efficaces. Il existe deux principaux types de tests environnementaux accélérés : les tests de durée de vie accélérés (ALT) et les tests d'amélioration de la fiabilité (RET). Les tests d'amélioration de la fiabilité (RET) permettent d'identifier les défaillances précoces liées à la conception d'un produit et de déterminer sa résistance aux défaillances aléatoires pendant sa durée de vie effective. Les tests de durée de vie accélérée visent à identifier comment, quand et pourquoi les défaillances d'usure surviennent dans les produits. Vous trouverez ci-dessous une brève explication de ces deux types fondamentaux. 1. Test de durée de vie accéléré (ALT) : Chambre d'essai environnementaleLes tests de durée de vie accélérés (ALT) sont réalisés sur les composants, les matériaux et les procédés de fabrication afin de déterminer leur durée de vie. Leur objectif n'est pas de révéler les défauts, mais d'identifier et de quantifier les mécanismes de défaillance qui conduisent à l'usure du produit en fin de vie. Pour les produits à longue durée de vie, les ALT doivent être réalisés sur une période suffisamment longue pour permettre une estimation précise de leur durée de vie. L'ALT repose sur l'hypothèse que les caractéristiques d'un produit soumis à des contraintes élevées à court terme sont cohérentes avec celles d'un produit soumis à de faibles contraintes à long terme. Pour réduire la durée des essais, des contraintes accélérées sont appliquées, une méthode appelée « Test de Durée de Vie Hautement Accélérée » (HALT). L'ALT fournit des données précieuses sur les mécanismes d'usure attendus des produits, un atout crucial sur le marché actuel, où les consommateurs exigent de plus en plus d'informations sur la durée de vie des produits qu'ils achètent. L'estimation de la durée de vie des produits n'est qu'une des applications de l'ALT. Elle permet aux concepteurs et aux fabricants d'acquérir une compréhension globale du produit, d'identifier les composants, matériaux et procédés critiques, et d'apporter les améliorations et contrôles nécessaires. De plus, les données obtenues grâce à ces tests inspirent confiance aux fabricants et aux consommateurs. L'ALT est généralement réalisée sur des produits échantillonnés. 2. Tests d'amélioration de la fiabilité (RET)Les tests d'amélioration de la fiabilité portent différents noms et formes, tels que les tests de contrainte par paliers, les tests de durée de vie sous contrainte (STRIEF) et les tests de durée de vie hautement accélérés (HALT). L'objectif des tests d'amélioration de la fiabilité est d'appliquer systématiquement des niveaux croissants de contraintes environnementales et opérationnelles afin de provoquer des défaillances et de révéler les faiblesses de conception, évaluant ainsi la fiabilité du produit. Par conséquent, les tests d'amélioration de la fiabilité doivent être mis en œuvre dès le début du cycle de conception et de développement du produit afin de faciliter les modifications de conception.  Les chercheurs en fiabilité ont constaté au début des années 1980 que d'importants défauts de conception résiduels offraient une marge d'amélioration considérable. De plus, le coût et la durée du cycle de développement sont des facteurs critiques sur le marché concurrentiel actuel. Des études ont montré que la RET est l'une des meilleures méthodes pour résoudre ces problèmes. Elle offre une fiabilité supérieure aux méthodes traditionnelles et, surtout, fournit des informations précoces sur la fiabilité en peu de temps, contrairement aux méthodes traditionnelles qui nécessitent une croissance prolongée de la fiabilité (TAAF), réduisant ainsi les coûts.
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  • DIRECTIVES DE FONCTIONNEMENT DE LA CHAMBRE D'ESSAI D'HUMIDITÉ ET DE TEMPÉRATURE
    Mar 19, 2025
    1. Présentation de l'équipementL'enceinte d'essai d'humidité et de température, également appelée appareil de simulation environnementale, est un instrument de précision exigeant le strict respect des protocoles opérationnels. Appareil électrique de classe II conforme à la norme de sécurité CEI 61010-1, sa fiabilité (stabilité de température de ± 0,5 °C), sa précision (précision d'humidité relative de ± 2 % HR) et sa stabilité opérationnelle sont essentielles pour obtenir des résultats conformes à la norme ISO/CEI 17025.2. Protocoles de sécurité pré-opérationnels2.1 Exigences électriques Alimentation : 220 V CA ± 10 %, 50/60 Hz avec mise à la terre indépendante (résistance de terre ≤ 4 Ω) Installer un circuit d'arrêt d'urgence et une protection contre les surintensités (recommandé 125 % du courant nominal) Mettre en œuvre un RCD (dispositif à courant résiduel) avec un courant de déclenchement ≤ 30 mA2.2 Spécifications d'installation Exigences d'autorisation : Arrière : ≥ 500 mm Latéral : ≥ 300 mm Verticale : ≥ 800 mm Conditions ambiantes : Température : 15-35°C Humidité : ≤ 85 % HR (sans condensation) Pression atmosphérique : 86-106 kPa  3. Contraintes opérationnelles3.1 Environnements interdits Atmosphères explosives (ATEX Zone 0/20 interdite) Environnements corrosifs (concentration en HCl > 1 ppm) Zones à forte concentration de particules (PM2,5 > 150 μg/m³)Champs électromagnétiques puissants (> 3 V/m à 10 kHz-30 MHz)4. Procédures de mise en service4.1 Liste de contrôle avant démarrage Vérifier l'intégrité de la chambre (déformation structurelle ≤ 0,2 mm/m) Confirmer la validité de l'étalonnage du capteur PT100 (traçable NIST) Vérifier les niveaux de réfrigérant (R404A ≥ 85 % de la charge nominale) Valider la pente du système de drainage (pente ≥ 3°)5. Directives opérationnelles5.1 Réglage des paramètres Plage de température : -70°C à +150°C (gradient ≤3°C/min) Plage d'humidité : 20 % HR à 98 % HR (surveillance du point de rosée requise > 85 % HR) Étapes du programme : ≤ 120 segments avec contrôle de rampe et de trempage 5.2 Verrouillages de sécurité Arrêt porte ouverte (activation dans les 0,5 s) Protection contre la surchauffe (doubles capteurs redondants) Détection de panne du capteur d'humidité (activation du mode de séchage automatique)6. Protocole d'entretien6.1 Entretien quotidien Nettoyage du serpentin du condenseur (air comprimé 0,3-0,5 MPa) Vérification de la résistivité de l'eau (≥1MΩ·cm) Inspection du joint de porte (taux de fuite ≤ 0,5 % vol/h) 6.2 Entretien périodique Analyse de l'huile du compresseur (toutes les 2 000 heures) Test de pression du circuit frigorifique (annuel) Cycle d'étalonnage : Température : ±0,3°C (annuel) Humidité : ±1,5 % HR (semestriel)7. Matrice de réponse aux pannesPriorité des symptômesPrioritéAction immédiateRéponse techniqueChauffage incontrôléP1Activer l'arrêt d'urgenceVérifier le fonctionnement du SSR (Vf
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